Découvrez les étapes incontournables d'une vente immobilière
Pour vendre un appartement ou une maison, il faut faire les choses dans l’ordre. Pas question par exemple de chercher un acheteur avant même d’avoir estimé la valeur du bien ! Découvrez quelles sont les étapes incontournables en passant par un professionnel.
TROUVER SON AGENT IMMOBILIER
Trouver un bon agent immobilier peut faire toute la différence entre vendre votre bien rapidement à un prix intéressant et voir l’affaire traîner pendant des mois. Avec le nouvel affichage obligatoire des honoraires en vitrine, les propriétaires sont aidés dans leur sélection d'un partenaire de vente. Mais attention : le coût n’est pas le seul élément à prendre en compte. La situation géographique est elle aussi primordiale, puisque quelqu’un qui connait bien le quartier pourra mieux vous conseiller et convaincre les éventuels acheteurs. Sans oublier le contact humain et votre impression, tout simplement !
CHOISIR LE MANDAT DE VENTE
Exclusif ? Simple ? Semi-exclusif ? Parce que chaque type de mandat présente ses avantages et inconvénients, il peut être difficile de se décider. Un mandat simple vous permettra de faire jouer la concurrence entre les agences immobilières mais ne vous garantira pas forcément la qualité de service. De son côté, le mandat exclusif n’est intéressant que si vous avez une confiance absolue en votre partenaire et en sa capacité à trouver un acquéreur au bon prix. Alors vaut-il mieux faire un compromis et opter pour le semi-exclusif ? Tout dépend des conditions qui y sont attachées (honoraires, durée, obligations du professionnel…).
SIGNER LE COMPROMIS DE VENTE
Le compromis de vente engage à la fois le vendeur et l’acheteur à conclure la vente au prix qu’ils auront fixé ensemble. L’acquéreur verse un dépôt de garantie d’une somme allant généralement de 5 % à 10 % du prix de vente. Si le vendeur renonce à la transaction après la signature du compromis de vente, l’acquéreur peut l’y obliger par voie de justice et même exiger des dommages et intérêts. L’inverse est également vrai : si c’est l’acheteur qui change d’avis, le vendeur peut lui aussi l’obliger à respecter la transaction. Le compromis de vente n’a pas à être enregistré auprès des services fiscaux, contrairement à la promesse de vente